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  • : EDUCATION 2.0 - L'actualité de l'éducation, l'enseignement supérieur et la recherche
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16 mai 2014 5 16 /05 /mai /2014 11:24

classement grands écoles

 

Mardi 13 mai, l'Union européenne a lancé son classement mondial des universités. Baptisé U-Multirank, ce nouvel outil se présente comme une cartographie des établissements censée donner l'image la plus juste possible. Plus nuancé, il se veut donc très différent des classements existants aujourd'hui.

 

U-Multirank prend, tout comme celui de Shanghai, en compte la recherche mais le nombre de critères est bien plus important : qualité de l'enseignement, ouverture vers l'international, réussite en matière de transferts de connaissances et de technologies ainsi qu'action régionale. En un clic, le site permet aux étudiants de choisir son université en la comparant avec d'autres grâce à des paramètres qu'ils ont eux-mêmes choisis : la recherche, l'internationalisation, la taille de l'établissement, de comparer des universités similaires ou de choisir des universités à comparer et enfin de sélectionner une université pour la découvrir. Chacun peut personnaliser son classement en pondérant les critères.

 

Plus d'informations via l'article original du Monde.

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29 avril 2014 2 29 /04 /avril /2014 16:54

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Lors de sa visite en France, Zhang Jie, le président de l’université Shanghai Jiao Tong a tenté de rassurer la France sur sa faible position dans son fameux classement. Et a salué la «grande tradition française» en matière d’enseignement supérieur. Il déclare : «Le système français mérite plus de respect que ne le reflètent les rankings... Nous pensons que la France est un pays très avancé, avec une grande tradition d’enseignement supérieur».

Jiao Tong préside l'Université de Shanghai ,où est né le fameux et redouté «classement de Shanghai» des universités dans le monde en 2003. Lors d’une interview donnée à l’agence AEF, Zhang Jie tempère les résultats de ce classement, systématiquement dominé par les puissantes universités américaines Harvard ,Stanford, Berkeley et le MIT, et qui ne laisse que peu de place aux grandes écoles françaises et aux facs françaises.

Ce classement favorise effectivement les établissements ayant reçu des prix prestigieux et le nombre d’articles publiés dans des revues exclusivement anglo-saxonnes ce qui ne joue pas en faveur des Français, et ce que Zhang Jie n’oublie pas de souligner: «Je ne suis pas à 100 % d’accord avec le système des classements d’universités, qui donnent une trop grande place aux prix Nobel et aux médailles Fields: ce n’est pas la seule mission d’un établissement d’enseignement supérieur».

Pour en savoir plus, consultez l'article original du Figaro.

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14 avril 2014 1 14 /04 /avril /2014 10:38

 

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Challenges

Pour mieux répondre aux besoins des entreprises et des cadres, les universités proposent désormais des masters professionnels qui n'ont rien à envier aux masters spécialisés des grandes écoles...

Consultez le classement ICI

 

Le Point

Cette année, 49 écoles ont pris part à l'enquête du Point. Pour y participer, une condition : délivrer, en formation initiale, un diplôme de management en bac+4 ou bac+5 visé par l'Etat...

Consultez le classement ICI

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17 mars 2014 1 17 /03 /mars /2014 15:06

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Une récente enquête réalisée par le ministère de l’Éducation nationale révèle que 43,6% des jeunes Français âgés de 30 à 34 ans sont titulaires d’un diplôme de l’enseignement supérieur, dépassant ainsi dès 2012 l’objectif européen de 40% à atteindre à l’horizon 2020.

En terme de diplômes de l’enseignement supérieur, alors que la moyenne européenne s’élève à 35,8% de diplômés parmi les 30-34 ans, la France atteint les 43,6%. L’étude que vient de publier le ministère de l’Education nationale révèle d’importantes disparités entre États. Certains pays sont ainsi à la traîne: en Italie et en Roumanie, on dépasse à peine la barre des 20% et l’Allemagne ne compte que 31,9% de jeunes de cet âge titulaires d’une licence ou d’un diplôme plus élevé...

 

Plus d'informations sur l'article original du Figaro  ! 

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7 mars 2014 5 07 /03 /mars /2014 10:42

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Paris Sorbonne et l’UPMC. Deux universités françaises conservent une place dans le palmarès du THE (Times Higher Education) basé sur la réputation, paru le 5 mars 2014. Contre quatre établissements les années précédentes. C'est près de 60 000 étudiants de 150 pays différents qui ont été interrogés pour cette étude !

Polytechnique et l’université Paris Sud, présentes dans ce top 100 depuis 2012, en sortent dans cette édition 2014. Les Etats-Unis, quant à eux, restent grands premiers.

 

Le palmares complet est à consulter sur EducPros.fr.

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21 février 2014 5 21 /02 /février /2014 11:29

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Voici le dernier appel à projet des campus des métiers et des qualifications, diffusé le 20 février par le ministère de l'éducation nationale :

 

"Le ministère de l'éducation nationale a développé depuis l'an passé des "campus des métiers et des qualifications" afin de répondre au besoin d'adaptation et de modernisation de l'offre de formation technologique et professionnelle.Il s'est engagé dans une politique volontariste de développement de ces campus, afin de mettre en valeur la qualité de l'enseignement professionnel et de contribuer à l'insertion professionnelle des jeunes et au redressement productif du pays.

Ces pôles d'excellence réunissent sur le même site ou en réseau des établissements d'enseignement du secondaire, du supérieur, des laboratoires de recherche et des entreprises. Ils sont centrés sur des filières spécifiques et sur des secteurs d'activités correspondant à un enjeu économique régional ou national bien identifié.

À la suite d'un premier appel à projets, quatorze campus des métiers et des qualifications ont déjà été labellisés depuis septembre 2013 ! Un second appel à projets est publié ce jour afin de pouvoir labelliser de nouveaux campus dès le début de l'été.

L'objectif politique est de réaliser au moins un campus des métiers et des qualifications par région et de les faire émerger autour des thématiques très innovantes en lien avec la stratégie de filières industrielles du ministère du redressement productif.

Le développement des campus des métiers et des qualifications doit réellement favoriser les choix d'orientation des élèves et des étudiants en leur offrant des parcours de réussite ambitieux en lien avec les stratégies nationales et régionales de développement de filières industrielles et de services sur les territoires."

 

 

SOURCE : www.education-gouv.fr

Pour en savoir plus, cliquez, ICI.

 


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31 janvier 2014 5 31 /01 /janvier /2014 16:58

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Un article très intéressant de MediaPart vient de paraitre pour dénoncer la future augmentation des frais d'inscription des étudiants. En voici quelques extraits :

 

"Inefficace pour financer les établissements et socialement dangereuse, tels sont les reproches adressés par les économistes David Flacher, Hugo Harari-Kermadec, Sabina Issehnane etLéonard Moulin à la hausse des frais d'inscription des étudiants. Celle que le gouvernement vient de décider pour les écoles des Mines et des Télécom n'est qu'un début, s'alarment-ils."

 

Effectivement...

 

"Le gouvernement vient de décider une augmentation des frais d’inscription de 1 000 euros (pour les Européens) et de 3 000 euros (pour les non-Européens) dans les écoles d’ingénieurs publiques des Mines et des Télécom. Disons-le d’emblée, cette décision, qui s’inscrit dans la continuité de la politique du précédent gouvernement, n’est ni anodine, ni anecdotique. Elle sera économiquement inefficace en plus d’être profondément idéologique et socialement dangereuse."

 

La France est un pays où les frais de scolarité dans le supérieur sont considérés comme bas comparés à d'autres pays comme l'Amérique.

 

Pensez-vous que le fait d'augmenter ces frais changera quelque chose ? Positivement ou négativement ? 

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22 janvier 2014 3 22 /01 /janvier /2014 15:55

Cet appel à projets est dédié au soutien aux projets innovants visant à moderniser l’offre de santé sur un territoire donné en mobilisant les technologies et outils numériques, dans la poursuite des objectifs du programme « Territoire de soins numérique ». Le présent cahier des charges fixe les modalités de l’appel à projets ainsi que le champ et les principales caractéristiques des projets ciblés. 

 

Les projets visés sont des projets portés par une Agence Régionale de Santé (ARS) et regroupant un ensemble d’acteurs sanitaires, ambulatoires et médico-sociaux d’un même bassin de santé. Les projets devront être à fort contenu innovant, intégrant notamment des propositions de services nouveaux à destination des différents acteurs (professionnels de santé dont médecin traitant, soins de premier recours, patients, …). 

 

 

Faites confiance à Excellence Consulting !

 

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Contexte...

 

Lors d’un déplacement au centre hospitalier universitaire de Grenoble1, le Premier Ministre a dévoilé le 8 février 2013 les contours de la stratégie nationale de santé dont Marisol Touraine, ministre des affaires sociales et de la santé, a précisé la feuille de route le 23 septembre 20132

 

L’un des premiers axes de travail identifiés par cette stratégie consiste à organiser les soins du patient dans le cadre d’une médecine de parcours reposant sur la coopération de l’ensemble des professionnels de santé. Concrètement, cela signifie que les professionnels de premiers recours articulent leurs interventions et partagent des informations nécessaires à la continuité et à la coordination des soins. 

 

 

Les systèmes d’information de santé jouent un rôle prépondérant dans la poursuite de cet objectif de coordination des prises en charge des patients, au bénéfice de la qualité et de la sécurité des soins dispensés. La mise en oeuvre de systèmes d’information performants et l’extension de leur usage à l’ensemble des professionnels intervenant autour du patient constituent en ce sens un facteur clé de soutien au développement des parcours. 

 

Dans ce contexte, la stratégie nationale de santé a pour objectif de tirer parti des perspectives offertes par le numérique3 en termes d’organisation, d’information des patients et de collaboration des professionnels, mais également de lutte contre les inégalités de santé. En particulier, elle vise à moderniser l’offre de soins au sein des établissements de santé, mais aussi en dehors de l’hôpital, en généralisant l’usage d’outils numériques par les hôpitaux et les professionnels de santé, et en permettant un accès facilité des usagers aux services de notre système de santé. 

 

 

Deux programmes emblématiques doivent participer à cette modernisation de l’offre de soins dans le cadre d’une médecine de parcours : 

 

  • Le programme « Hôpital numérique », plan pluriannuel de développement et de modernisation des systèmes d’information hospitaliers (SIH), qui est une réalité depuis plus d’un an et qui vise à amener l’ensemble des établissements de santé à un niveau de maturité de leurs systèmes d’information suffisant pour améliorer significativement la qualité, la sécurité des soins et la performance dans domaines fonctionnels ciblés, sur un socle assurant la sécurité des données 4.

 

  • Le programme « Territoire de soins numérique », mesure n°17 de la feuille de route gouvernementale sur le numérique dévoilée par le Premier ministre le 28 février 2013, auquel 80 M€5 seront consacrés au total dans le cadre des Investissements d’avenir et qui doit permettre de soutenir des projets innovants en matière de partage et d’échange d’information grâce aux outils numériques, au bénéfice d’une prise en charge coordonnée des patients à partir de la médecine de ville et tout au long du parcours de soins (établissements de santé, secteur médico-social).

 

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Pour en savoir plus sur cet appel d'offre :


- Appel à projet complet

- Contexte et Enjeux

 

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24 janvier 2012 2 24 /01 /janvier /2012 11:03
Des parlementaires appellent à « réfléchir à une évolution du mode d'élection des membres des CA » des universités (rapport de l'Opecst)
  • À télécharger 

« Les CA dans leur mode d'élection actuel, sont (…) plus des 'super CTP' (conseils techniques paritaires) que de vrais organes politiques nécessaires à des universités autonomes. » Voici l'une des conclusions de l'Opecst (Office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et technologiques) formulée dans un rapport intitulé « l'innovation à l'épreuve des peurs et des risques », rendu public jeudi 19 janvier 2012. Saisi en octobre par le président de l'Assemblée nationale, Bernard Accoyer, l'Opecst avait pour mission principale d' « établir une échelle des risques et de mieux cerner les avancées scientifiques souhaitables dans des domaines où le risque est évalué ». Pour cela, les députés et sénateurs de l'Opecst reviennent en particulier sur les « apports et limites de l'autonomie des universités ». Citant l'exemple de l'université de Louvain-la-Neuve, où le président « est élu au suffrage universel direct par les personnel et les étudiants avec pondération des voix », ils appellent à « réfléchir à une évolution du mode d'élection des membres des CA » des universités françaises.

L'Opecst estime en effet qu'il faut « tendre à ce que le débat pré-électoral porte sur un projet d'avenir global pour l'université et pallier le problème de majorité parfois difficile à trouver ». Ce sont là les deux principaux problèmes de la « nouvelle organisation » des différents conseils de l'université après la LRU. Depuis la mise en oeuvre de celle-ci, les différents conseils décisionnaires des universités (CA, CS et Cevu) ont été affectés par « une réduction du nombre des administrateurs et un transfert de pouvoir au CA, au détriment du CS et du Cevu qui deviennent des conseils consultatifs », note l'Opecst. Les auteurs du rapport rapportent que le CA est devenu « l'élément clé de la gouvernance ». 

L'UTILISATION D'UN SCRUTIN DE TYPE « RÉGIONAL » PRÉCONISÉE 

Détaillant les raisons pour lesquelles une majorité est « parfois difficile à trouver », l'Opecst souligne que désormais, « l'élection des membres académiques du CA se fait par un scrutin de liste à un tour avec prime majoritaire ». Cela avait à l'origine pour objectif de « permettre au président de disposer d'une majorité forte », mais en réalité « ce mode de scrutin peut conduire au blocage des CA », puisque « dans le cas où les listes qui arrivent en tête dans les collèges professeurs et maîtres de conférence ne sont pas les mêmes, l'effet des primes majoritaires s'annihilent ». 

Autre faiblesse, « le mode d'élection par collège a pour effet d'aboutir à une représentation 'corporatiste' et surtout donne lieu à un débat pré-électoral essentiellement tourné vers les intérêts de chaque collège ». Le rapport estime que « l'utilisation d'un scrutin de type 'régional' (élections dans différents collèges à la proportionnelle avec prime majoritaire sur la base du résultat global) pourrait tout à la fois garantir la représentation des différentes populations de l'université mais aussi une majorité stable et faire porter le débat sur un projet global ». 

« LA MUTUALISATION DOIT ÊTRE RECHERCHÉE »

Le rapport revient également sur « la mise en concurrence très forte des établissements et des chercheurs » qui « les 'oblige' à l'excellence et laisse parfois de côté certaines initiatives locales ». Selon l'Opecst, « il convient d'aider les petites structures de taille régionale, en les incitant à se regrouper, par exemple sous la forme de PRES (Pôles de recherche et d'enseignement supérieur), afin de mutualiser leurs moyens pour mieux répondre aux appels à projets ». 

Selon les parlementaires, « l'actuel millefeuille institutionnel est un frein à la créativité et à l'efficacité. Pour nous, l'université doit être au centre de l'offre de formation et de recherche, à chaque territoire doit correspondre une grande université (…). La mutualisation doit être recherchée pour valoriser au mieux les droits de la recherche française et ne doit pas conduire à ce qu'on appelle improprement les universités de seconde zone. »
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23 février 2011 3 23 /02 /février /2011 20:40

Comme prévu vous trouverez le support de la conférence "Co-opetition in Higher Education : the French case" ici

 

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La présentation de Maxime Legrand a fait l'objet de beaucoup de questions de l'auditoire et le board de l'AIEA s'est réjoui de voir la France de nouveau représentée dans les conférences internationales (à noter que M. Legrand était le seul intervenant français sur 100 présentations...)  Durant l’intervention il a insisté sur les réformes en cours qui reconfigurent le paysage français de l'enseignement supérieur et la recherche. 

 

                                                                                                    ML-conference-2-.jpg     

 

 

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