Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Présentation

  • : EDUCATION 2.0 - L'actualité de l'éducation, l'enseignement supérieur et la recherche
  • : L'actualité et les débats de l'éducation, l'enseignement supérieur, la recherche et l'innovation
  • Contact

Rejoignez-nous sur Facebook !

facebook.twitter button 

Suivez-nous sur Twitter !

facebook.twitter button copie

12 mai 2014 1 12 /05 /mai /2014 17:50

argent.jpg

 

L’importance de la littérature financière et en particulier la nécessité de promouvoir l’éducation financière a été reconnue comme un facteur important de l’amélioration de l’inclusion financière et du bien-être financier ainsi qu’un soutien à la stabilité financière des personnes. Un ouvrage à découvrir sur OECD Library.

Partager cet article
Repost0
6 mars 2014 4 06 /03 /mars /2014 16:17

 

shutterstock 160511093 (1)

 

Pour éviter la rup­ture entre l'école pri­maire et le col­lège, le think-tank Terra Nova pro­pose de "fusion­ner les corps de pro­fes­seur des écoles et de pro­fes­seur certifié". C'est le magazine en ligne VousNousIls.fr qui nous le raporte : 

 

Pas de "cohé­rence d'ensemble" entre école pri­maire et collège ?

Pour le think tank, il n'y a pas vraiment de continuité en terme d'enseignement et de méthode entre la primaire et le collège. Il n'existerait pas de "cohé­rence d'ensemble" entre le pri­maire et le secon­daire, "ni dans les conte­nus ensei­gnés, ni en matière péda­go­gique et éduca­tive, ni sur le plan de l'organisation sco­laire", ni "en matière ins­ti­tu­tion­nelle [...] ni enfin dans les com­pé­tences et la for­ma­tion des ensei­gnants". "Ces der­niers se connaissent mal, se jalousent sou­vent et par­fois se dénigrent, cris­pés sur des iden­ti­tés pro­fes­sion­nelles qu'on pour­rait croire dépas­sées (la poly­va­lence des ins­ti­tu­teurs ver­sus la spé­cia­li­sa­tion dis­ci­pli­naire des ensei­gnants de col­lège) alors qu'ils exercent le même métier devant les mêmes élèves", comme nous l'explique le reporter de VousNousIls.fr. Quelles seraient les conséquences directes de ce problème ? L'échec scolaire des éléves les plus en difficultés : "A 11 ans, avec le pas­sage du Primaire au Secondaire, les élèves font l'expérience d'une triple rup­ture : en termes de conte­nus ensei­gnés et de rela­tion au savoir, de péda­go­gie et de rela­tion au(x) maître(s), enfin d'éducation et de rela­tion aux normes sociales et morales".

 

Les avantages du rapprochement seraient les suivants :

 

  • favo­ri­ser la mobi­lité pro­fes­sion­nelle et les secondes car­rières à l'interne
  • favo­ri­ser l'harmonisation des recru­te­ments, en pri­vi­lé­giant le niveau aca­dé­mique, et le rap­pro­che­ment des for­ma­tions
  • défi­nir les obli­ga­tions pro­fes­sion­nelles par niveau d'enseignement et non par corps. 

 

Pour plus d'informations, nous vous invitons à consulter l'article original.

Partager cet article
Repost0
7 février 2014 5 07 /02 /février /2014 16:01

unesco-e-coles.jpg

 

 

Un rapport de l'UNESCO révèle que la qualité de l’enseignement ne cesse de se dégrader dans le monde entier. 

 

D’après le document intitulé «Enseigner et apprendre : atteindre la qualité pour tous», plus de 250 millions d'enfants scolarisés pendant au moins quatre ans ne savent pas lire et ne savent pas plus écrire, ni compter à cause d'un enseignement de mauvaise qualité. Cela sans compter l'énorme gaspillage des investissements financiers dans le secteur. Effectivement, le rapport révèle qu’une crise mondiale de l’apprentissage coûte 129 milliards de dollars par an aux pouvoirs publics.

 

10% de ces dépenses mondiales consacrées à l’enseignement primaire se perdent dans une éducation de mauvaise qualité qui ne permet pas aux enfants d’apprendre. Par ailleurs, le rapport fait le lien entre pauvreté et qualité de l'enseignement.

 

 

Des proposition pour améliorer cette situations alarmante ?

 

 

Plus d'informations via la source originale de cet article : Le Matin.

Partager cet article
Repost0
24 janvier 2014 5 24 /01 /janvier /2014 13:37

 

shutterstock_171837911.jpg

 

 

On n'arrête pas le progrès !

 

Un projet ambitieux et révolutionnaire prévoit de permettre aux élèves malades ou tout simplement absents de pouvoir suivre les cours en direct mais aussi de pouvoir interagir avec le professeur et les autres élèves.

 

Voici les appareils, qu'ils pourront contrôler à distance :

 

10108_anybots.jpg

 

Cet appareil peut se déplacer dans la classe mais aussi suivre les camarades de l'élève concerné jusque dans la cantine. Un petit écran permet aux personnes présentes en classe de voir qui se trouve aux commandes de l'engin téléguidé. 

 

 

Voici le communiqué consultable via le site de l'AEF :

 

La région Rhône-Alpes lancera à la rentrée 2014 une expérimentation dans l'académie de Lyon, avec trois robots chargés de maintenir le lien en classe pour des élèves absents pour des raisons de santé. Équipé à la fois d'une caméra et d'un écran, d'un micro et d'un haut-parleur, le robot, présenté mardi 21 janvier 2014, permettra à un élève de participer aux activités d'une classe depuis son domicile, à partir d'un ordinateur. Financée par la collectivité à hauteur de 490 000€, cette opération est « une première européenne », affirme Bruno Bonnell, président d'Awabot, la société qui développe l'outil. « Ce projet n'est pas seulement technologique, il est pédagogique, tourné vers les usages », souligne Françoise Moulin-Civil, la rectrice de Lyon. Des séances de formation sont prévues pour les enseignants, les élèves et leurs familles, ainsi qu'un suivi des pratiques par les chercheurs de l'IFÉ-ENS de Lyon.

 

 

Que pensez-vous de cette innovation ?
Une solution face aux problèmes de décrochages des élèves souvent absents ?

Partager cet article
Repost0
3 juin 2013 1 03 /06 /juin /2013 09:01

Lors de la conférence TED du 23 avril 2013 le Docteur Sugata Mitra, vainqueur du prix TED 2013, a présenté son projet : "dessiner le futur de l'éducation en encourageant les enfants partout dans le monde à exploiter leur sens inné de l'émerveillement et du travail d'équipe".

 

En 1999, son projet  "Un trou dans le mur" a démontré que, même en l'absence des directives d'un professeur, la mise à disposition d'ordinateurs connectés à internet aux enfants de New Dehli pouvait stimuler leur curiosité et favoriser l'apprentissage par le partage de connaissances entre les enfants. 

 

http://www.youtube.com/watch?v=y3jYVe1RGaU&feature=youtu.be

Partager cet article
Repost0
31 mai 2013 5 31 /05 /mai /2013 10:53
Partager cet article
Repost0
22 mai 2013 3 22 /05 /mai /2013 16:03

L'ensemble des acteurs publics de la recherche scientifique (universités, écoles d'ingénieurs, Inserm et CNRS) a contractualisé ses relations avec la SATT Conectus. Cette première nationale permet à l'organisme de proposer à des PME de toutes la France des brevets issus des instituts alsaciens, dans le cadre d'un programme de coconception. La PME bénéficie alors de 18 mois de test avant d'acquérir -ou non- l'innovation en vue de son industrialisation. Conectus noue les premiers partenariats avec les entreprises depuis fin avril.

Partager cet article
Repost0
4 avril 2012 3 04 /04 /avril /2012 09:51

La Commission européenne publie un « guide pratique sur les possibilités de financement de l'Union européenne pour la recherche et l'innovation », indique le site gouvernemental dédié aux pôles de compétitivité, jeudi 29 mars 2012. Le guide développe les « cinq opportunités clés » pour financer la recherche et l'innovation au niveau européen : « le programme-cadre pour la recherche ; le programm- cadre pour la compétitivité et l'innovation ; les fonds structurels et le fonds de cohésion inclus dans la politique de cohésion ; le fonds européen agricole pour le développement rural et le fonds européen pour la pêche, inclus dans la politique de développement rural et la politique commune de la pêche. » 

Dans l'introduction de ce document, Máire Geoghegan-Quinn, Johannes Hahn et Antonio Tajani, commissaires européens respectivement en charge de la Recherche, l'Innovation et la Science, des Politiques régionales, et de l'Industrie et l'Entrepreneuriat expliquent que « la complexité du paysage actuel des instruments de financement européens de la recherche et de l'innovation » les a « conduits à proposer d'en rassembler la gamme complète au sein d'un cadre stratégique dans le prochain règlement financier multiannuel 2014-2020 », présenté par la Commission européenne le 29 juin 2011, et qui n'a pas encore été adopté. Ce « cadre stratégique » prévoit « une série de règles et de procédures simplifiées et une série unique d'instruments de financement », et « offre la possibilité de rendre plus efficace les fonds européens et d'augmenter leur impact, tout en facilitant leur accès aux participants », font savoir les commissaires (AEF n°158908).

« FOURNIR UNE DESCRIPTION CONCISE DES SOURCES DE FINANCEMENT »

La première édition de ce « guide pratique » a été publiée en 2008 « afin de fournir une description concise des principales sources de financement dans les domaines de la recherche et de l'innovation », précise l'introduction. « Il expliquait comment celles-ci peuvent être combinées dans la pratique et prodiguait des conseils aux décideurs politiques sur la façon de mettre en place des mécanismes aux niveaux national et régional pour en renforcer la coordination. »

Partager cet article
Repost0
4 avril 2012 3 04 /04 /avril /2012 09:47

Les résultats enregistrés aux appels à projets du PIA (Programme des investissements d'avenir) permettront à la filière sciences de la vie et de la santé de disposer « de financements inédits pour concrétiser de nombreux projets et bâtir en Alsace un écosystème scientifique d'excellence » : tel est l'un des principaux « faits marquants » du bilan d'activité 2011 du pôle de compétitivité Alsace Biovalley, indique sa direction à AEF en mars 2012. « L'excellence des compétences des laboratoires alsaciens de la filière vie-santé, couplée à la mobilisation autour de l'université de Strasbourg, a porté ses fruits […]. L'Alsace est ainsi devenue le premier campus santé de France hors Île-de-France et va bénéficier, dès 2012, de financements nationaux sans précédent, [affectés] à l'université de Strasbourg et ses partenaires. Ces opportunités devraient également bénéficier, par effet ricochet, à l'ensemble des acteurs alsaciens de la filière vie-santé : industriels, sous-traitants, etc. ».

« Dans les investissements d'avenir, le niveau d'implication du pôle a été variable, en fonction des appels à projets », précise Nicolas Carboni, directeur du pôle jusqu'au 31 mars 2012. En particulier, « six labex (laboratoires d'excellence) en santé labellisés à Strasbourg ont été accompagnés par le pôle [sur onze obtenus au total], qui a d'ailleurs contribué à d'autres en association. Avec le succès rencontré au niveau des labex, Strasbourg se situe au deuxième rang national. » Nicolas Carboni prend concrètement ses fonctions de PDG de la Satt Conectus Alsace, lundi 2 avril (AEF n°161101). Guillaume Ebelmann, directeur des opérations au sein du pôle, lui succéde comme « directeur général délégué » d'Alsace Biovalley.

IDEX, SATT, ETC. : L'IMPLICATION DU PÔLE

« Au sujet de l'idex (initiative d'excellence), le pôle Alsace Biovalley était le seul membre externe aux établissements au sein du comité de pilotage », poursuit Nicolas Carboni, qui a défendu le dossier devant le jury international, aux côtés des représentants de l'université, duCNRS et de l'Inserm. À terme, les laboratoires et entreprises de la filière devraient bénéficier des « instruments » prévus, « à l'instar de plates-formes et du projet de campus Tech Med », dont le « vaisseau étendard » est l'IHU (institut hospitalo-universitaire) strasbourgeois, centré sur la chirurgie mini-invasive (AEF n°131740).

Le directeur du pôle se montre également satisfait par l'obtention d'un financement pour le projet d'usine-école Ease (European aseptic and sterile environment), « inscrit dans la feuille de route d'Alsace Biovalley avant d'être porté par l'université, dans le cadre de l'appel à projets du PIA concernant les formations en alternance ». Le financement de cette infrastructure – d'un coût total de 27,2 millions d'euros – sera assuré grâce à des apports à hauteur de 8,4 millions d'euros de l'État (via la CDC, opérateur), de 4 millions d'euros du conseil régional d'Alsace, et de 4 millions d'euros de la CUS (communauté urbaine de Strasbourg), le solde de 6,8 millions d'euros étant directement apporté par des industriels. L'idée est de former, en conditions réelles, aux métiers de la production en salles blanches : « Nous nous appuyons sur des opérateurs de formations existants, notamment l'Université de Strasbourg, pour les formations initiales et une partie de la formation continue, et l'Ifis (Institut de formation des industries de santé), le bras de formation de l'Ariis (alliance pour la recherche et l'innovation des industries de santé) », rappelle Nicolas Carboni. 

En outre, le lancement de la Satt Conectus Alsace, financée à hauteur de 36 millions d'euros (AEF n°161101), entraînera un renforcement des liens entre Alsace Biovalley et le réseau Conectus. « L'historique est déjà important, avec deux personnes mutualisées, une boîte à outils de contractualisation, ainsi que des actions de cartographie engagées en parallèle », rappelle Nicolas Carboni, président de la Satt alsacienne. « Mais nous irons plus loin », annonce-t-il. « Nous allons nous doter d'une vraie stratégie 'business development' commune, pour que les actions soient menées avec davantage de cohérence et une meilleure utilisation des ressources. De même, nous continuerons à faire fonctionner des binômes 'pôle-Satt' dans la construction de projets de R&D collaborative », prévoit Nicolas Carboni. Enfin, « l'ensemble du travail engagé par le pôle (AEF n°115958) constitue un intrant dans le processus de décision d'investissement en maturation de la Satt ».

« COOPÉRATION TRINATIONALE »

Au-delà des résultats obtenus aux investissements d'avenir, le bilan d'activités 2011 communiqué par le pôle fait état de deux autres « faits marquants ». D'une part, il existe « de nouveaux dispositifs pour soutenir la croissance des entreprises alsaciennes de la filière sciences de la vie-santé ». Face aux difficultés des jeunes entreprises innovantes à lever des fonds pour leur développement, Alsace Biovalley et l'incubateur Semia proposent notamment, comme nouveau dispositif d'accompagnement aux TPE et aux PME, le label 'EIP' (pour « entreprise innovante des pôles ») : « Basé sur l'intervention d'experts, ce label lancé fin 2011 a pour but de les aider à mieux convaincre des investisseurs ». D'autre part, les « partenariats inédits » noués avec d'autres clusters 'santé' internationaux (comme le Consortium québécois sur la découverte du médicament) représentent « de nouvelles opportunités d'activités pour les entreprises alsaciennes » ; enfin, certaines TPE et PME ont été intégrées dans des programmes européens, « au travers du support apporté par l'ARI (agence régionale d'innovation, [1]) ». 

D'autre part, la direction du pôle évoque « des collaborations facilitées entre entreprises et laboratoires de recherche alsaciens, suisses et allemands ». « En 2011, la coopération trinationale s'est inscrite plus que jamais dans le concret, avec près de quinze événements 'réseaux' réunissant 1 300 participants. [Et] les événements de 'networking' se calquent aux attentes des entreprises, comme en témoigne le succès des rencontres 'Meet & Match' réunissant sur un thème scientifique pointu entre 50 et 100 experts ; l'an dernier, les cinq rencontres organisées ont permis d'initier dix collaborations partenariales », est-il souligné dans le bilan d'activité. 

« NOUS NOUS SITUONS LARGEMENT DANS LES OBJECTIFS FIXÉS »

Le contrat de performance 2013-2015 du pôle sera finalisé à l'automne 2012. « Pour la période 2009-2011, nous avons reçu les évaluateurs courant février 2012. Nous nous situons largement dans les objectifs fixés […]. Force est de constater que la doctrine de l'État a évolué ces dernières années, la dimension formation étant de plus en plus importante : nous avons travaillé avec l'UdS et d'autres partenaires à construire plusieurs nouveaux parcours de formation, à l'instar de la licence professionnelle 'sciences du médicament' proposée en apprentissage à la faculté de pharmacie. En parallèle, notre rôle est de mobiliser nos acteurs industriels et élaborer avec eux le profil de compétences et de capacités qu'ils souhaitent trouver dans leurs recrutements ».

En 2005, le pôle s'était engagé sur trois indicateurs quantitatifs à dix ans. « Nous visions 5 000 emplois, 90 entreprises créées ou implantées et une multiplication par deux du volume de recherche collaborative, dont le niveau était déjà à 40 % au-dessus du niveau moyen des universités scientifiques françaises. Où en sommes-nous aujourd'hui, à peu près à mi-parcours ? Avec 2 200 emplois créés [issues de projets où le pôle est impliqué], 43 entreprises créées et une hausse de 60 % des partenariats public-privé, nous sommes dans les clous », conclut-il.

Partager cet article
Repost0
14 mars 2012 3 14 /03 /mars /2012 15:12

Laurent Wauquiez a annoncé, mardi 13 mars 2012, la liste des 37 lauréats à l'appel à projets Idefi, qui récompense les "Initiatives d'excellence en formations innovantes".

Portés par les universités, les grandes écoles publiques et privées, ces projets ont obtenu une dotation globale (en capital) de 186.2 millions d'euros, pour une durée maximale de 8 ans, allant entre 1.500.000 à 10 millions d'euros par projet. 8 sont financés au titre des Idex auxquels ils appartiennent (37.2 millions d'euros), les 29 autres obtiennent les dotations Idefi (149 millions d'euros).

La phase de sélection s'est opérée en deux temps, avec le jury international présidé par Grace Neville, professeur de français à l'université de Cork (Irlande) : tout d'abord une phase de pré-selection des dossiers (58 des 93 projets déposés ont été retenus), puis une phase de sélection, avec audition devant le jury. 

Quatre critères figuraient dans la grille d'évaluation : le caractère innovant ; les bénéfices attendus et la capacité à créer une dynamique de changement ; la faisabilité et la crédibilité ; la capacité à s'inscrire dans la durée, au-delà du soutien par Idefi.

12 projets relèvent du champ de formation des sciences humaines et sociales, 9 des sciences de la matières et ingéniérie, 6 des sciences de la vie, santé, agronomie, écologie, et 10 sont des projets et dspositifs pluridisciplinaires

Les proteurs de projets lauréats


- Université de Rennes 2 (2M2€)
- Université de Nantes (9M€)
Université de Poitiers (10M€)
- Université de Poitiers (4M6€)
- Université d'Orléans (5M3€)
- Université de Perpignan (5M5€)
- Université de Haute-Alsace (4M5€)
- Université de Pau et Pays de l'Adour (2M€)
- Université d'Angers (5M2€)
- Université de Bourgogne Franche-Comté (5M3€)
- Université de Toulouse 2 (2M2€)
- Université de Montpellier 3 (6M2€)
- Université de Lyon 1 (4M5€)
- Université Joseph Fourier Grenoble (3M5€)
- Université Pierre Mendès France Grenoble (5M€)
- Université Grenoble 3 (4M€)
- UPMC (4M5€)
- Université de Paris 8 (5M2€)
- Université de Paris 2 (5M5€)
- Université de Toulouse (4M€)
- Université de Toulouse (7M€)
- Université Paris-Est (7M7€)
- Université Paris Saclay (2M5€)

- Sorbonne Paris Cité (6M5€)
- CHU Amiens Picardie (8M5€)
- FNSP (Fondation nationale des sciences politiques) (6M€)
- Institut supérieur d'électronique et du numérique (Nord-Pas-de-Calais) (5M€)
- ENPC (Ecole nationale des Ponts et Chaussées Paris Tech) (4M1€)
- Agroparistech (3M5€)
- INSA Rouen (5M5€) 
- SupMeca (4M3)
EM Lyon business school (6M3€)
- ECE (1M5€)
- Grands Ateliers (Rhône-Alpes, Île-de-France) (5M€)
- UNIT (Université numérique ingénierie technologie) (5M€)
- Oniris (5M2€)
- GIP-CNFM (Groupement d'intérêt public pour la coordination nationale de la formation en micro et nanoélectronique)(4M4€)

Partager cet article
Repost0